Cyclism’Actu, Antoine Plouvin, 6 Avril 2013
Placé par: Bitossi

Paris-Roubaix est une des épreuves les plus particulières de la saison. Déjà parce que c'est une Flandrienne qui ne se déroule pas en Belgique. Et puis il y a ce rituel des reconnaissances, la pression médiatique propre aux plus grandes classiques, l’utilisation de vélos spécifiques, la cérémonie de présentation des équipes le samedi à Compiègne… C’est encore plus vrai lorsqu’on s’appelle Sébastien Turgot, deuxième de la dernière édition et que les derniers résultats montent en pression. 10ème à Harelbeke et 8ème au Tour des Flandres. Ajouter à cela une 12ème place au Grand Prix de l’Escaut et on comprend que le coureur de la formation Europcar est à la fois un bon Flandrien qui arrive en forme mais aussi qu’il détient un argument de poids pour ces courses-la… une bonne pointe de vitesse. Alors comment faire aussi bien que l’an passé ? De l’aveu même de l’intéressé, ce ne sera pas facile. Mais peut-être n’est-ce pas l’objectif principal. Pour Cyclism’Actu, Sébastien Turgot a accepté de répondre à nos questions.

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